La chorégraphe Nina Santes s’empare de la figure de la sorcière – non comme image figée, mais comme potentiel d’action, mobilisant les « pouvoirs » d’une identité plurielle. Sous forme de concert parlé, dansé, et chanté, cinq interprètes oeuvrent au croisement du travail documentaire et du rituel magique, et dessinent les lignes de fuite d’un devenir-sorcière résolument rebelle et engagé.
photo : Nina Santes