Good Boy comme son auteur Alain Buffard sont emblématiques des années 1990.
Le solo est repris par Matthieu Doze, qui était l’assistant à la création à la Ménagerie de verre en 1998. Vision crue et radicale d’un corps qui résiste aux définitions, « opposé au corps-outil du danseur, Good Boy trafique avec l'idée d’un corps par lequel s'exacerbe une certaine forme de transgression ; un corps qui expose la saturation sociale et morale, un corps qui dit la vitalité et la maladie. »